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Ces charlatans qui ont promu un faux vaccin

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Article source publié le 22 janvier 2022

Pas un mot dans la presse, ce mercredi. C’est pourtant une bombe qu’a lancée, hier sur France Info, le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy. Lui-même en est convenu : il ne devrait « pas dire ça ». Le vaccin contre le Covid « est une forme de vaccin-médicament », a-t-il reconnu. « Il est comme les autres vaccins par certains côtés. C’est un vaccin, mais qui a un peu une forme de vaccin-médicament, puisqu’en fait, il protège contre les formes sévères et les formes graves. » « Ça, on ne l’a pas suffisamment dit », a ajouté le professeur, spécialisé en immunologie. « C’est nouveau, parce que c’est incompatible (…) Ça ne colle pas, mais c’est la réalité. Il est très particulier. Le vaccin contre le Covid a une action formidable pour prévenir les formes sévères et les formes graves, mais il a une action limitée dans le temps et sur la transmission. (…) C’est quelque chose qu’on aurait pu anticiper, mais qui était difficile (à prévoir). Les modèles animaux montraient que l’immunité était relativement faible. » Bref, le président du conseil scientifique explique, d’une manière alambiquée, que le « vaccin » anti-Covid, sur lequel le gouvernement a imposé le passe vaccinal, n’est pas un vaccin. De fait, la France est le pays d’Europe qui connaît le plus de contaminations (500.000 en 24 heures) alors que les vaccinés représentent 92% de la population. Mais cette injection renouvelable est-elle un « médicament » ? Si oui, il est dès lors absurde de l’imposer à des personnes qui ne sont pas malades. Delfraissy assure néanmoins : « On a dix fois plus de chances de se retrouver en réanimation, si on n’est pas vacciné ». Cependant, il est admis aussi que le variant Omicron est encore moins létal que les précédents. Les risques de se retrouver en réanimation sont donc, quoi qu’il arrive, très faibles.

Que les médias ne se précipitent pas pour ébruiter l’aveu peut se comprendre : ils n’ont jamais mis en doute la sacralisation, par le récit officiel, des vaccins anti-Covid. Quiconque se risquait à émettre un doute sur cette expérimentation à l’échelle mondiale, promue par les laboratoires pharmaceutiques, était catalogué d’obscurantiste, de complotiste, voire d’extrême droite et même parfois d’antisémite ! Ces injures ont été abondamment versées sur les anti-passe qui manifestent tous les samedis depuis la mi-juillet. Le gouvernement lui-même n’a jamais pris le moindre recul pour avaliser les dires de Pfizer assurant que son vaccin était efficace à 97 %. Aujourd’hui encore, le chef de l’Etat répète : « Vacciner, vacciner, vacciner », y compris le monde entier. Or les réalités sont têtues. Ce que reconnait honnêtement Delfraissy, après l’hérétique Christian Perronne – ce vaccin n’est pas un vaccin – oblige à reconsidérer la politique sanitaire. Les « charlatans » sont ceux qui ont vendu, en pleine épidémie, un faux vaccin qui ne protège pas des contaminations. Il y a eu tromperie sur la marchandise, violation du consentement, abus de confiance. Mais chut, pas un mot !…

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