C’EST MON AVIS

Ce matin, j’ai entendu un journaliste dire à la « TELEVISION  » que, depuis le début de la« PANDEMIE  » le monde, en suivant la Chine, avait pris le problème à l’envers.

D’abord, le terme de pandémie est-il vraiment adapté à la situation mondiale actuelle. Une pandémie est une immense épidémie répandue sur une grande partie du monde ce qui paraît être le cas aujourd’hui bien que nous ne disposons « PAS » de chiffres reconnus scientifiquement mais seulement de chiffres « ADMIS » par beaucoup de moyens de communication modernes, télévision, journaux, réseaux sociaux etc.

Si nous nous référons à l’histoire de la peste noire, de la grippe espagnole, de la grippe asiatique et bien d’autres, cette pandémie actuelle tue infiniment moins, bien que la population mondiale ait considérablement augmentée. Plus les hommes sont nombreux et moins les pandémies tuent de monde. Mais admettons, comme nous le rabâchent tous les moyens de communication «  JOURNELLEMENT » comme à des enfants demeurés qui ont du mal à comprendre ce qu’on essaie de leur dire, que nous vivons une pandémie dévastatrice mais pas si mortelle que ça.

La Chine a lancé la « TERREUR » sur le reste du monde. La dictature communiste chinoise a imposé à son peuple des mesures liberticides draconiennes sous prétexte de protéger la santé de chaque individu.

Le reste du monde, ou plutôt une partie du monde, en suivant les Etats Unis d’Amérique a ressenti cette peur, comme le dit l’adage « quand la santé va tout va » et s’est précipité pour adopter la méthode chinoise : LE CONFINEMENT.

Je pense que des personnes responsables ont réfléchi aux conséquences d’un tel traitement des peuples mais que des financiers ont imposés leur solution.
Les laboratoires pharmaceutiques ont probablement vu dans cette opportunité une occasion de fabriquer des médicaments à vendre dans le monde entier, chaque gouvernement étant tenu d’acheter ces médicaments sous peine de sanctions financières dramatiques.

De plus, il s’agissait de la santé, comment négliger un tel levier.

Il y a tant de choses à dire, en commençant au début et au professeur RAOULT. L’ennemi personnel du professeur Raoult est un autre professeur COHEN je crois, mari de madame BUZIN ministre de la santé. Ces professeurs se disputent sur le nombre et la valeur des publications médicales de chacun. Le ministre de la santé prend parti pour son mari bien qu’elle ne soit que docteur et pas professeur du tout mais au pouvoir de la république.

Et voilà la première décision liberticide : interdire aux médecins français d’utiliser un médicament vieux de plus de deux cents ans et utiliser déjà des milliard de fois parce qu’ il serait devenu dangereux..

Madame BUZIN a été récompensée en devenant un membre de l’OMS organisation mondiale aux mains des financiers des laboratoires pharmaceutiques. Depuis peu elle a reçu la récompense honorifique majeure en France , la légion d’honneur, peut-être sera-elle panthéonisée avec madame Halimi.

Les laboratoires pharmaceutiques américains ont vu là une opportunité formidable d’arroser le monde de leurs produits. Les allemands et les anglais se sont précipités pour soutenir les américains espérant les retombées sonnantes et trébuchantes de ce soutien. Les français n’ont pas été admis à faire partie de ce groupe, comme depuis des siècles repoussés par les anglais et les allemands.. Les français se sont jetés dans les bras de l’Europe mais celle-ci est aux mains des allemands. Les français espèrent encore faire partie des pays les plus riches du monde. Bien des évènements actuels montrent à quel point les Etats Unis et l’Angleterre sont solidaires ,alliance avec l’Australie, entre autre.

La terreur cultivée et répandue par les médias a plongé les peuples dans une attitude infantile. Se protéger, se protéger à n’importe quel prix de cette horrible maladie.
D’après les médias il n’y a pas de maladie plus terrible que celle-là, les cancers, les AVC, la tuberculose et les autres, n’existent plus. Seule cette nouvelle maladie mérite d’être soignée en priorité, tant pis pour les autres, on ne peut pas faire autrement. Il faut accepter ou être rejeté de la société.

Une personne de 90 ans qui est arrivé à cet âge parce qu’elle a su se soigner et se protéger, c’est fini pour elle. Elle est obligé de se soumettre à l’obligation institutionnalisée par le président de la république, sinon elle sera responsable de la mort de tous ceux qui l’auront approché, lui auront parlé, ou lui auront touché la main ou l’épaule. Le président a envie de l’emmerder.

Bientôt il faudra demander au président de la république, comment se laver, comment se coucher, contre son conjoint ou pas, comment recevoir et parler à ses enfants, comment utiliser l’eau des toilettes par souci d’économie, quels moyens autorisés de se protéger contre les fuites urinaires.
J’arrête pour ne pas tomber dans le vulgaire et le grossier, ce qui fait partie de la nature humaine et qui doit rester dans l’intimité de chacun.

A quand la liberté de vivre à sa propre façon