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Bataclan : le concert des hypocrites.

, par  NEMO , popularité : 3%
NJ-Ile de France

Tout est bon, pour taper sur Zemmour. Si les Français se laissent prendre par le matraquage médiatique unanime et les palinodies des prétendants LR, c’est qu’ils ne méritent pas autre chose que ce qui leur arrive.

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Vous allez me dire que je fais une fixette sur Zemmour, qu’il y a d’autres sujets à traiter, comme l’Islamophobie, l’homophobie, le non-binairo-phobie, le woko-phobie, le racisme, le réchauffement climatique, et je vous répondrai encore une fois que, certes, je vous concède que ces sujets sont d’une importance vitale, surtout le dernier (je rigole !), mais qu’à côté du risque de « cancellisation » de la France, je n’en ai rien à cirer.
Or, ce qu’il se passe en ce moment, c’est qu’on essaie de détruire par tous les moyens le seul, je dis bien le seul espoir qu’il nous reste d’arrêter la dégringolade. Et cet espoir, quelles que soient les réserves que certains de ses faux-amis puissent exprimer à son sujet, est incarné par le seul Eric Zemmour.

Un mensonge répété mille fois devient une vérité, aurait affirmé Goebbels. Tout est bon pour ses émules. Des centaines de censeurs appointés traquent Zemmour jour et nuit. Tout est prétexte à retourner contre lui la moindre de ses paroles, le plus anodin de ses gestes, on va chercher des écrits sortis sciemment de leur contexte. On l’attaque sur tout, de tous les côtés, on déforme, on manipule, on invente. Quand il réplique, parce qu’il n’est pas du genre à tendre l’autre joue, à allumer des bougies, à déposer des fleurs et des nounours sur les lieux des attentats, on s’indigne de sa « violence », ses excès. Et comme, à quelques exceptions près, aucun média ne vole à son secours, même pas C NEWS, excepté Christine Kelly et Face à l’Info, il doit se défendre tout seul face au « Système ». Eh bien je vous le dis, il a un sacré courage.

Un exemple, l’affaire du Bataclan. L’inénarrable François Hollande, le président de la République le plus calamiteux que les Français se soient donné, jusqu’à ce qu’Emmanuel Macron lui conteste ce titre envié, François Hollande, donc, avoue benoitement devant la Cour d’Assises Spéciale qui juge les assassins du Bataclan, qu’il savait que des terroristes s’infiltraient parmi les migrants qui arrivaient en masse en France (certains en passant par la Belgique). Ne sachant pas où ils allaient frapper, il n’avait rien pu faire sinon attendre le massacre… Non mais, il n’y avait vraiment rien à faire ? Pas de frontières qu’on aurait pu fermer, pas de service de Renseignements capable de se renseigner, pas de fichiers S qu’on aurait pu secouer un tant soit peu ?... Vous n’y pensez pas. Impossible dans la patrie qui a inventé les droits de l’homme, voyons. Les victimes ? Mais de quoi se plaignent-elles ? Elles ont eu droit à des hommages, des commémorations, un défilé exceptionnel de pleureuses, des bougies, des fleurs, des nounours, des « vous n’aurez pas ma haine », qu’est-ce que vous voulez de plus…

Quand on apprend par Bernard Squarcini, ex-directeur de la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur), que Manuel Valls, quand il était ministre de l’Intérieur, avait rejeté une coopération proposée par les services secrets Syriens, lesquels détenaient des listes de terroristes susceptibles d’agir contre la France. Accepter la moindre aide de la part des séides de Bachar el Assad, pouah, plutôt laisser des Français se faire tuer que de se salir les mains.

Zemmour a accusé Hollande d’être responsable, par son refus d’agir, du carnage du Bataclan. Son crime inexpiable, c’est d’avoir dit crûment ce qu’il ne fallait pas dire… surtout un jour de commémoration, de recueillement, d’anniversaire. Ce n’est pas sur le fond, incontestable, mais sur le choix de la date et de l’endroit, devant le Bataclan, qu’on a lâché les chiens. Il n’aurait pas dû venir, ou alors avec uniquement des fleurs ou un nounours. Faire comme les autres, quoi. Un petit tour, et passer à autre chose. Lui non, il a rappelé que le Bataclan n’était pas une fatalité, et qu’il n’était pas le dernier attentat avant un vivre ensemble paradisiaque. Il a rappelé que nos gouvernements, et leurs affidés, depuis des dizaines d’années, se contentaient de déplorer, sans agir. Il a rappelé que depuis Charlie et le Bataclan, rien n’avait changé. Et cela, ça mérite l’effacement définitif.

Nous ne devons pas laisser faire ! Des sondages s’évertuent à l’enterrer. A nous de les démentir. En commençant, pour ceux qui le peuvent, par assister à ses meetings, pour qu’il sache qu’il n’est pas seul, loin de là, et qu’il n’y a pas que des veaux en France.

Quatre tribunes pour compléter :
Zemmour, l’Islam et les Musulmans.
De (ca)niveau, les attaques sur Zemmour !
Zemmour c’est la haine, les autres c’est l’amour, mour, mour…
Pourquoi la folie Zemmour ne retombera pas.