Le 25 Mars 1962, veille de la manifestation, (je m’en souviens comme si c’était hier) les menaces du pédant et haineux Haut fonctionnaire gaulliste FOUCHET étaient très explicites :
-((Si vous vouliez tenter de revenir sur ce qui a été décidé, cette erreur serait terrible... Vous en seriez les PRINCIPALES VICTIMES))
Le traquenard avait mûrement été réfléchi EN HAUT LIEU puisque une kyrielle d’ambulances stationnait à proximité du barrage un peu plus de deux heures, avant le début de la fusillade. Et, que penser, après le carnage inouï, des malheureuses victimes qui n’ont jamais été rendues aux familles et enterrées à la hâte ? Certaines, les plus nombreuses, portaient d’horribles blessures à la nuque qu’il fallait cacher pour ne surtout pas contrarier la version officielle gaullienne toujours en vigueur à ce jour.
Le 25 Mars 1962, veille de la manifestation, (je m’en souviens comme si c’était hier) les menaces du pédant et haineux Haut fonctionnaire gaulliste FOUCHET étaient très explicites :
-((Si vous vouliez tenter de revenir sur ce qui a été décidé, cette erreur serait terrible... Vous en seriez les PRINCIPALES VICTIMES))
Le traquenard avait mûrement été réfléchi EN HAUT LIEU puisque une kyrielle d’ambulances stationnait à proximité du barrage un peu plus de deux heures, avant le début de la fusillade. Et, que penser, après le carnage inouï, des malheureuses victimes qui n’ont jamais été rendues aux familles et enterrées à la hâte ? Certaines, les plus nombreuses, portaient d’horribles blessures à la nuque qu’il fallait cacher pour ne surtout pas contrarier la version officielle gaullienne toujours en vigueur à ce jour.