Dimanche, je vote contre !

Dimanche, je vote contre tous les Lambert Wilson, les Besancenot, les Noël Mamère, qui crachent depuis des décennies sur la Marseillaise et le drapeau français, mais qui courent se réfugier dans les jupes de Marianne quand les "féroces soldats viennent jusque dans nos bras, égorger nos fils et nos compagnes".

Dimanche, je vote contre tous les Minc, les Attali qui prédisent du haut de leurs certitudes mondialistes, toujours démenties, que voter pour le Front National serait apocalyptique, que les industries fuiraient les régions administrées par la bête immonde, que des charrettes conduites par des migrants ramasseraient tous les matins les morts de faim et de froid dans les rues des villes frontistes, que les banques étrangères ne nous prêteraient plus d’argent, et que le soleil refuserait de briller au dessus de la France.

Dimanche, je vote contre tous les NKM, les Juppé qui, au nom d’une identité heureuse et un idéal boboïste d’un vivre ensemble de conte de fées, entraînent, conscience tranquille et torse gonflé de leur importance, notre pays vers le gouffre.

Dimanche, je vote contre tous les François Baroin, les Jacques Chirac, laïcards irresponsables qui, en rejetant les racines chrétiennes de la France, ont ouvert grand la porte à une religion étrangère qui finira par nous jeter à la mer. Vous avez renié le Christ ? Vous adorerez Allah !

Dimanche, je vote contre tous les Jean-Christophe Lagarde, les Bayrou, les Baylet, un pas à gauche, un pas à droite, mais toujours, une main sur le portefeuille, partis d’élus sans électeurs, opportunistes carriéristes prêts à se vendre au plus offrant, fossoyeurs intéressés de toutes les valeurs qu’ils prétendent défendre.

Dimanche, je vote contre tous les Sarkozy, les BHL qui nous ont entraînés dans un conflit qui ne nous concernait en rien en Libye, et dont nous payons tous les jours les intérêts usuraires, pendant que les va-t-en-guerre encaissent les dividendes.

Dimanche, je vote contre tous les Kouchner, les Pelloux et autres humanitaires qui, au nom de l’ingérence du même nom, ont fait de l’Afrique un continent qui, ne maîtrisant plus sa démographie, n’a plus qu’une échappatoire, envahir l’occident.

Dimanche je vote contre tous les Badinter, les Mitterrand qui, au nom de l’humanité ( ?), on se demande bien laquelle, n’ont aboli la peine de mort que pour les assassins.

Dimanche, je vote contre François Hollande et le parti socialiste, qui ont porté le cynisme et la veulerie électoraliste à des sommets que même les centristes n’arrivent pas à égaler, capables de promettre tout et le contraire, de renier le mardi leurs engagements du lundi, de prêcher la liberté d’expression mais d’interdire les opinions libres, incapables de gouverner mais agités jusqu’au paroxysme lorsqu’il s’agit de grappiller les voix des gogos.

Dimanche, je vote contre tous ceux, élus de gauche et de droite « républicaine », qui ont fait de plus d’un quart de la population française des parias, jusqu’à les considérer comme les « ennemis » de la France. De quelle France ? D’une France dont je ne veux pas !