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Marre des cons !

, par  noreply@blogger.com (atoilhonneur corto) , popularité : 6%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
De l’ami Koltchack : 

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(Un militant CGT symbole des libertés syndicales de plus en plus bafouées./Photo Laurent Dard)

" Je dois avouer que je commence à ressentir une sorte de lassitude. Sous prétexte d’opposition à notre prince-président, je vois des tas de gens, qui pourtant se définissent comme étant de droite, défendre les guignolades syndicales actuelles, quand ces personnes n’en arrivent pas à trouver quelque excuse aux pignolades mélenchonesques.

Ainsi donc, la France serait un pays livré aux forces ultra-libérales. Quand je lis ou entends cela, j’ai à peine envie de pouffer.

Il faudra un jour que l’on finisse par m’expliquer comment on peut en arriver à une telle conclusion dans un pays où, tous prélèvements confondus, nous travaillons pour l’Etat jusqu’au 14 juillet ! Si ça ce n’est pas de l’activité fiscale confiscatoire, je me demande bien ce que c’est.

Et encore, s’il y avait une véritable efficacité des différents dispositifs dits " de solidarité ", mais même pas. À l’heure actuelle une compagnie d’assurance maladie privée, dite " au premier euro ", c’est à dire fonctionnant sur le même principe que notre sécu, permet en regard de ce que nous pique la SS de faire une économie annuelle d’au moins 1000€, tout en assurant une prise en charge à 100%, alors que celle de la SS nous oblige à cotiser à une mutuelle pour éviter de trop perdre.

La vérité, c’est que l’Etat ne sait pas faire fonctionner ces systèmes, il est incapable de s’affranchir de son lourd modèle bureaucratique soviétoïde qui avale une partie non-négligeable des sommes extorquées pour nourrir la bête. La fameuse sacro-sainte redistribution, c’est dans le meilleur des cas 50€ de restitués pour 100€ perçus. Et pour être très clair, l’usage du terme " redistribution " est une pure escroquerie intellectuelle, car pour qu’il y ait redistribution, il faudrait qu’il y ait eu au préalable une distribution. Or, l’Etat ne crée aucune richesse et ne distribue rien.

Entendons-nous bien, je ne suis en aucune manière un libéral, j’ai toujours pensé que le libéralisme, comme n’importe quel autre système de pensée politique du prisme, ne peut qu’être nocif s’il n’est pas contenu par de solides barrières. Mais pour autant, je refuse de ne pas voir les idées positives qu’il peut proposer au prétexte qu’elles seraient libérales.

Et quand je vois ces longues théories de pousse-mégots défiler derrière des bouffons comme la Méluche, ou descendre dans la rue pour défendre leur petit pré carré d’avantages acquis, alors que le pays crève de ses déficits, de sa dette, que toute réforme d’envergure a été repoussée depuis 40 ans par les gouvernements qui se sont passés et repassés les commandes du pays parce que la rue gronde, j’enrage littéralement. Ce sont mes enfants et mes petits-enfants qui vont devoir raquer l’addition laissée par ces cons.

Et encore, s’ils défendaient intelligemment leur bout de gras, mais même pas. Quand on voit les abrutis du PCF et de la CGT manifester pour les sans-papiers qui bossent au noir et leur piquent le boulot, comment ne pas désespérer de l’intelligence humaine. Et ce sont ces mêmes cons qui vont hurler contre le patronat qui emploie les clandestins qu’eux-mêmes contribuent à maintenir sur notre sol.

C’est ça la rue ? Et bien gardez-la, je n’en suis pas et n’en serais jamais.

L’ennemi de mon ennemi n’est pas nécessairement mon ami. Et s’agissant de la racaille bolcho-syndicale, je ne me compromettrais jamais avec ça. Ils sont la négation de tous les principes et vertus auxquels je crois, ils sont ennemis de tout ce qui est bel et beau, de tout ce qui fait qu’une société est saine, viable et vivable."

P. Koltchack

On ne peut que plussoyer, n’est-il pas ?


D’accord, pas d’accord : atoilhonneur chez yahoo.fr

Voir en ligne : http://corto74.blogspot.com/2017/09...