L’Algérie l’a annoncé, la presse quotidienne l’a confirmé et les Algériens l’ont cru : « Les victimes d’attentats et d’actes de violence, commis par la France et son armée, de nationalité algérienne allaient avoir le droit à des pensions versées par la France, le pays colonisateur. »
La décision, prise le 8 (...)