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Au poteau les saboteurs !

, par  NEMO , popularité : 4%
NJ-Ile de France
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Samedi dernier, un tchétchène (pardon, un français originaire de Tchétchénie, dont les parents, menacés de mort –sans la moindre raison, bien entendu, sinon d’être des musulmans épris de paix et d’amour- par Poutine le Sanguinaire, avaient obtenu l’asile dans notre généreux pays,), un français radicalisé donc, a tué un jeune homme et blessé quatre passants, au nom d’Allahou Akbar… La routine, quoi, sinon que, cette fois, nous n’avons eu droit ni aux explications oiseuses habituelles, ni à un appel vibrant au « padamalgam », un commencement de début de pudeur, sans doute. C’est déjà cela.

Mais pour ceux qui espéraient que les responsables de la sécurité des Français iraient un tant soit peu au-delà du « nous sommes en guerre, il faudra du temps pour éradiquer le terrorisme, nous faisons ce que nous pouvons, mais le plus important, c’est de ne pas oublier que nous sommes un état de Droit, et que la moindre entorse aux sacro-saints droits de l’homme est une victoire pour tous les ennemis de la République », ce sera pour une autre fois. Personne, dans la classe politique, d’une part ne nommera l’ennemi – tout ce que vous voulez mais pas islamophobe -, et d’autre part, et conséquemment, ne prendra les mesures que le bon sens le plus élémentaire dicterait à des responsables dotés de la moindre paire de couilles : la fermeture complète du robinet migratoire, l’interdiction de la construction de nouvelles mosquées, au moins jusqu’à ce que les musulmans acceptent un concordat (c’est-à-dire jusqu’aux calendes grecques), le rétablissement de la « double peine » (qui n’en était pas une), l’expulsion des étrangers à risque, y compris des bi-nationaux, l’arrêt absolu de toute repentance, y compris à l’école, l’abrogation des lois mémorielles et du délit de « pensée ». Cela ne règlerait évidemment pas le problème à moyen terme, mais passerait un message fort à tous ceux qui méprisent la France, et permettrait aux proches des victimes de faire leur deuil, plutôt que de se dire que leur fils, fille, frère, sœur, est mort parce qu’un état impuissant et veule n’a pas eu le courage de les protéger.

Ne croyez-pas pour autant que je sois obsédé par l’Islam, ou même que j’éprouve une haine irraisonnée pour les "islamistes" qui ne nous veulent pas que du bien. Eux, au moins, font ce en quoi ils croient, jusqu’à accepter d’en mourir. Mais je déteste de plus en plus fort tous ces français qui, chez nous, en ce moment, alors que nous sommes confrontés à un danger qui vaut bien le péril nazi ou stalinien, sont en train de couler le pays, soit par ambition personnelle, ou tout simplement pour se donner le frisson : Notre Dame des Landes, la SNCF, Air France, les universités… Est-il bien raisonnable que des milliers de policiers, gendarmes et CRS soient mobilisés pour maintenir un ordre qui n’est que du désordre interdit de "bavure" ? Que ces grévistes et manifestants professionnels, encadrés par des syndicalistes et des politiciens indignes continuent leur travail de démolition alors que notre pays, on nous le répète tous les jours, est en guerre, en guerre, nom de Dieu ? Ce qu’ils font, ce n’est pas de la RÉSISTANCE, comme ils voudraient nous le faire croire, c’est du SABOTAGE.

Il fut un temps, pas si lointain, où les saboteurs étaient collés au poteau. O tempora, o mores !

Note : en même temps que l’attentat de Paris, se produisait annonçait en Indonésie un carnage atroce, perpétré par toute une famille, père, mère, fils, et même deux enfants d’une dizaine d’années. J’étais à Java et à Bali l’an dernier. Java est musulmane, Bali bouddhiste… On me vantait l’Islam d’Indonésie, très « cool », tranquille, ouvert, no problemo. Sauf que, j’ai pu constater que l’ouest de Bali, qui n’est séparé de Java que par un détroit de quelques kilomètres, se hérissait de mosquées flambant neuves, chassant peu à peu les bouddhistes et les hindouistes vers l’est. Plus un seul village sans son minaret. Et qui finance tout cela ? Devinez… Un indice : pour se rendre à Java, la compagnie la plus pratique est…