Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Accueillir « dignement » les réfugiés… Et puis quoi encore ?

, par  NEMO , popularité : 3%
NJ-Ile de France
JPEG - 122.1 ko

Qu’on ne se méprenne pas : je n’ai pas le moindre ressentiment envers les pauvres (plus ou moins, d’ailleurs) gens qui nous arrivent, par air, terre ou mer, d’Afrique ou du Moyen-Orient. Au contraire, j’ai, comme tout le monde, le cœur qui saigne à l’énoncé de leur misère. Les « migrants » ne quittent pas leur village pour le seul goût de l’aventure et de l’exotisme. Ils viennent chez nous parce que chez eux, c’est « no future ». S’ils courent tous les dangers pour rejoindre l’Europe, s’ils se résignent à se faire exploiter par des marchands de sommeil, ou par des employeurs sans foi ni loi, c’est pour améliorer le sort de leurs familles. Que des salopards, en Europe et dans leurs pays, se fassent du fric, ou pire, se fassent plaisir, en leur faisant miroiter un Eldorado là où ils ne découvriront qu’une nouvelle misère, c’est dégueulasse, insupportable.

Mais une fois cela dit, est-ce pour autant à nous, européens et français, de régler les problèmes de l’Afrique et du Moyen-Orient ? Au nom de quoi sommes-nous sommés d’ « accueillir dignement » ces cohortes de miséreux que nous n’avons en aucune façon invitées chez nous, et dont les usages et croyances sont pour la plupart si éloignés des nôtres, et si dangereux pour notre propre futur ? C’est pourtant ce à quoi nous invitent, en ce moment encore plus que d’habitude, sans doute l’effet « Noël » (pardon, fêtes de fin d’année), toutes ces associations caritatives dont le fond de commerce est le « malheur » des peuples « racisés », et le chiffre d’affaires – plusieurs centaines de millions d’euros-, la générosité forcée des contribuables.

Et c’est la litanie compassionnelle et accusatrice : « avec les 10 euros d’une buche de Noël, nous pourrions servir 3 repas à des Érythréens ». « Dans le pays des droits de l’homme, il est inadmissible que L’État (toujours L’État), laisse des réfugiés dormir dans les rues », « tout le monde a droit à un logement décent, quelle que soit son origine, c’est l’image internationale (rien que cela) de la France qui est en jeu »,…. Etc, etc… Pour vous la faire courte, honte à nous, français et européens, sans cœur, bien-chauffés, bien nourris, dont le seul mérite est d’être nés ici plutôt qu’ailleurs. Pourquoi les « nés ailleurs » n’auraient-ils pas les mêmes droits que nous, les « nés ici » ?... Sauf que, quand on est ailleurs, on n’est pas chez nous, que c’est vrai pour toutes les espèces, humaine ou animales, et que c’est comme cela depuis que le monde est monde.

Alors ras le bol des moralisateurs, lesquels, en plus, ne sont en général pas les payeurs ! Les migrants, on ne les a pas invités à venir chez nous. On ne leur doit rien, et rien, absolument rien, ne nous oblige à les « accueillir dignement », sinon, pour ceux qui le voudraient, avec leurs moyens propres. En tous cas, pas l’argent de nos impôts. Si l’Afrique et le Moyen-Orient se trouvent dans une situation dramatique, c’est de la responsabilité et l’affaire des africains et des arabes. S’ils laissent des régimes corrompus leur sucer le sang, c’est leur problème. S’ils « tiennent les murs » plutôt que les monter, tant pis pour eux. Ils sont indépendants depuis des décennies pour certains, et pour d’autres, ils n’ont jamais subi quelque colonisation que ce soit. L’esclavage dont ils nous accusent, ils l’ont pratiqué eux-mêmes, et certains le pratiquent encore. S’ils sont aujourd’hui dans la mouise, c’est de leur seule faute, et c’est à eux d’en sortir.

Rien ne nous oblige, je le répète, si ce n’est l’inconscience de nos dirigeants et de nos belles âmes, à accepter chez nous des populations qui, loin de nous remercier de les « accueillir », ce qui serait la moindre des choses, n’ont qu’exigences et arrière-pensées de colonisation à leur profit d’une partie de notre territoire, sinon de notre pays tout entier. Nous n’avons pas à avoir honte, ni laisser dire que nous avons peur, parce que nous voulons nous protéger contre ces envahisseurs.

Faut-il rappeler à tous ces donneurs de leçon que les européens avaient eux aussi émigré en Amérique pour « fuir la misère » (autre expression courante chez les compassionnistes de salon). Résultat : les indiens ont été exterminés. Pour nous, si on laisse faire, ce sera une question de temps. Quand les « réfugiés » seront assez nombreux, c’est nous qui dégagerons.

En attendant, joyeux Noël à mes fidèles (et infidèles) lecteurs.