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AUDIN : Tous les traîtres méritent la peine de mort !

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

He ! Les « fellouzes », vous vous foutez de nous, non ?

Vous estimez d’une part qu’il faut rendre justice à Maurice Audin mais également aux milliers de « disparus » (entre 3000 et 3200, selon vous) algériens et français, qui ont subi le même sort que lui, afin de « faire un pas de plus vers la réconciliation des mémoires ».

Et s’il était question, justement pour faire un pas de plus vers cette réconciliation des mémoires, entre la France et l’Algérie, qui semble possible 60 ans après l’indépendance algérienne, que ce pas soit celui qui nous permettra de savoir ce que sont devenus les milliers de disparus « Français d’Algérie » entre le 19 mars et le 5 juillet 1962 ?

Le député LREM, Cédric Villani, intervenant samedi lors d’un hommage rendu au mathématicien et martyr algérien, s’est permis de dévoiler « qu’il avait eu l’occasion de s’entretenir longuement avec le Président de la République, lors de sa visite en Chine (janvier 2018), justement sur l’affaire Maurice Audin (Nous qui pensions naïvement que notre président avait d’autres priorités, en Chine, que de s’entretenir longuement sur ce genre d’affaire, et bien, nous nous trompions !) Et qu’Emmanuel Macron lui avait confié sa conviction (malgré l’absence totale de preuves) qu’Audin « avait été assassiné par l’armée française ».

Villani a confirmé que « le travail d’instruction du dossier était en cours mais que la forme, de ce que va dire le président, n’est pas encore définie ! »

Pourquoi devrait-on rendre justice à Maurice Audin ? Parce que membre du Parti Communiste Algérien il a collaboré activement avec l’ennemi de la France ? Cela ne s’appelle-t-il pas de la « haute trahison » et cela ne mérite-t-il pas douze balles dans la peau ?

S’il avait été exécuté on ne trouverait rien à redire, cela aurait été logique, oui, mais voilà, on ne sait pas exactement comment il est mort !

Que l’on recherche la façon dont il a trouvé la mort, cela va de soi, mais qu’on lui rende hommage officiellement, est une honte pour la France. Et c’est pourtant ce qui a été fait, notamment à Paris, où le maire de l’époque, Bertrand Delanoë, avait inauguré une « Place Maurice Audin » dans le Vème arrondissement, ainsi qu’un Parc à Argenteuil.

La journaliste, Nathalie Funès, modératrice de la conférence « Maghreb-Orient des livres 2018 » suppose que les archives ne révèleront pas grand-chose, nous le supposons également. Elle souhaite donc un moyen de « libérer la parole » au niveau de l’armée, afin que les derniers acteurs, encore vivants, apportent leurs témoignages.

Ces « acteurs encore vivants » ont tous dépassés les quatre-vingts ans et, s’il en reste, ils n’ont pas tous « torturés » au CTT des parachutistes d’El Biar.

Elle souhaite démontrer quoi ? Que la torture était appliquée durant la guerre d’Algérie ? Mais bien évidemment, comme dans toutes les guerres et le FLN et l’ALN ne s’en sont pas privés. Justement, parmi ces 3000 à 3200 « disparus » fellaghas, combien ont été supprimés par ces deux organisations terroristes ?

Tous les Français qui ont collaboré avec les ennemis de la France méritaient la peine capitale. Tous ne l’ont pas subi, hélas ! Et nombreux sont revenus terminer leur vie en toute sérénité, en France.

N’est-ce pas le souhait de tous ces djihadistes encore en Syrie, en Irak, ou ailleurs ?

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2018/...